Stella TANAGRA, l'auteur de "Sexe cité", se met à nu au sens propre comme au figuré dans une interview très complète sur le site "Le journal d'Anouchka". Attention, photos sexy et envolées lyriques au programme !

Nous avons découvert le site "Le journal d'Anouchka" grâce à Stella TANAGRA elle-même, très investie dans la promotion de son premier ouvrage érotique et particulièrement douée pour dénicher des sites originaux.

C'est donc avec beaucoup de curiosité que nous avons visité le site d'Anouchka Farland, où elle décrit avec beaucoup de finesse ses humeurs, ses découvertes coquines, ainsi que les photos sur lesquelles elle travaille en collaboration avec des photographes, en tant que modèle ou graphiste pour le post-traitement.

Aujourd'hui, elle nous fait le plaisir de réaliser une interview particulièrement complète et sexy de Stella TANAGRA, où l'on apprend à mieux connaître ce jeune auteur au talent littéraire et à la beauté qui ne souffrent d'aucune constestation.

Découvrez dès maintenant sur le site d'Anouchka l'interview intégrale de Stella Tanagra :

http://journaldanouchka.blogspot.fr/2015/06/linterview-de-stella-tanagra.html?zx=66a33584c73a1ff4

Extrait :

(…) Pourrais-tu me parler de ta manière de travailler? Est-ce une sorte d'exercice régulier ou bien te laisses-tu porter par l'inspiration du moment?

Tout est une question de pulsion. Je laisse l'inspiration venir me chercher. Hors de question de s'obstiner à remplir une page blanche. C'est une image ou un mot qui va me surprendre et me porter de ligne en ligne. J'écris à l'instinct, tout ce qui me tord, me malmène ou m'émeut. Ni calcul, ni stratégie, des mots bruts et sincères comme je les vis.

Le point de départ : ma sensibilité et les sensations qu'elle produit lorsqu'elle transforme les détails en violations et les désirs en allégresses. Mes mots sont organiques et saignants. Mes écrits font de l'enveloppe corporelle le centre de toutes les attractions afin d'extirper les tourments et les fantasmes de chacun pour les révéler jusqu'au bout de l'indicible. (…)