Daniel PANIZZOLI se fait une nouvelle fois remarquer en publiant un thriller tonitruant, encore plus violent que son précédent livre, lequel ferait presque figure de conte pour enfants à coté...

Vous connaissez désormais Daniel Panizzoli, l'auteur du controversé mais néanmoins excellent "Michto ou la haine crescendo" (voir notre article de présentation), dont le premier tome gratuit ne décroche pas de la 5ème place sur l'Ibookstore d'Apple, et dont le second tome a intégré dernièrement les 100 meilleures ventes de la catégorie "Biographies".

Fort de cet encourageant début, il nous livre avec "Quitte à vivre ma mort" un thriller basé sur des faits réels qui mélange cambriolages, enlèvement, et vengeance, avec toujours ce vocabulaire si particulier qui le caractérise...

Vous pouvez retrouver son ouvrage en version papier et numérique sur IS Ebooks ainsi que dans toutes les bonnes librairies, physiques et immatérielles.

 

Résumé de Quitte à vivre ma mort

Roman inspiré de faits réels.

Autant prévenir les âmes sensibles et prudes, vous allez vous retrouver dans le monde des voyous. Vous serez également confrontés à la vulgarité du langage tzigane et argotique. Comme dans tout bon thriller qui se respecte, la violence est sanguinaire.

Cambriolages, braquages et vendetta, sensations et frissons jusqu'à la mort, voilà ce qui vous attend...

Tony Prazzelini est un homme marginal, gagnant sa vie de larcins et autres activités illicites. Après s'être racheté une conduite, sa vie bascule le jour où un homme exerçant de hautes fonctions dans sa ville décide de l'escroquer.

Les lois ne l'aidant pas, Tony va dès lors se retrouver très fortement endetté, perdre sa femme, et être mis à la rue.

Bien déterminé à se venger de ce personnage et de la justice qui l'auront entraîné dans une déchéance inextricable, il va alors monter un plan diabolique d'une violence inouïe.

Et parce qu'il est animé par la haine de celui qui n'a plus rien à perdre, personne ne sortira indemne de cette entreprise suicidaire exécutée sans aucune pitié...