Sortie de « Les rêves en noir et blanc », le premier roman de Hanna VERNET !

Samedi paraîtra chez IS Edition "Les rêves en noir et blanc", le premier roman de la prometteuse Hanna VERNET, enseignante en Lettres à l'université.

Nous avions présenté Hanna VERNET il y a quelques mois lorsqu'elle avait rejoint l'équipe des auteurs de IS Edition (voir l'article qui lui était consacré). Talentueuse, dotée d'une écriture subtile et raffinée, Hanna VERNET nous offre ici avec "Les rêves en noir et blanc" un premier roman que nous espérons être le préambule d'une longue et prolifique carrière d'écrivain.

Le livre met en scène les tribulations amoureuses de Philea, amoureuse de livres qui tient une petite librairie, et Théodore, un jeune homme au caractère affirmé et passionné par la musique. Entre eux deux le courant va très vite passer, mais l'amour s'avère parfois bien compliqué lorsque les doutes s'installent…

Dans une époque où tout va vite, l'auteure a su capter la fulgurance de la pensée et la retranscrire. À travers une écriture épurée, elle plonge le lecteur dans un univers sombre mais traversé de passages lumineux. Un roman oxymorique qui nous fait passer de l'amour à la colère, de l'euphorie à la terreur, de la fulgurance au néant…

L'auteur a une belle plume et sait décortiquer l'évanescence des sentiments jusqu'à la dernière pelure. Ce livre plaira donc autant à un lectorat de jeunes adultes qu'à une élite intellectuelle habituée à ce style d'écriture.

"Les rêves en noir et blanc" paraît demain aux formats papier et numériques (ePub, Mobi/Kindle et PDF) dans tous les réseaux traditionnels de librairies.

Et, comme pour chaque sortie de livre depuis quelques mois, deux livres papier et deux livres numériques sont à gagner sur nos réseaux sociaux, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !

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Résumé :

C’était sorti tout seul. Est-ce que c’est vraiment elle qui l’avait dit ? Elle l’avait répété deux fois pendant qu’ils faisaient l’amour. Pour être sûre…
Il s’était arrêté et l’avait regardée. Elle s’était sentie encore plus nue. D’une nudité profonde… Au-delà de la peau siègent d’autres pudeurs.
« Redis-le ». Elle le redit. Cette fois, c’est bien elle, elle en est sûre. Sa voix résonne. Elle dit « Je t’aime » comme plus jeune elle avait dit « Amen » à la messe du dimanche. Religieusement. Comme habitée par une force nouvelle, comme une profession de foi.
Sans comprendre tout à fait ce qu’elle veut dire, mais convaincue que son dieu a entendu sa prière.
Son dieu, c'est lui. Theo.