Sortie de « J’avais seize ans, et j’étais une meurtrière », un roman sans temps mort de Jean-Luc ESPINASSE !

Après trois premiers romans palpitants, Jean-Luc ESPINASSE et IS Edition vous proposent la sortie ce vendredi de "J'avais seize ans, et j'étais une meurtrière", un nouveau thriller à tiroirs avec plusieurs thèmes habilement enchevêtrés…

Auteur de plusieurs livres dont trois déjà publiés chez IS Edition ("L'Accident", "Le Candidat" et "Intelligences"), Jean-Luc ESPINASSE est passé maître dans l'art de faire frissonner et réfléchir les lecteurs avec ses livres.

Ce sera encore le cas avec la sortie ce vendredi de "J'avais seize ans, et j'étais une meurtrière", un livre au titre énigmatique qui ne se lâche pas avant d'avoir lu la fin de l'histoire.

L'intrigue est passionnante, avec plusieurs thèmes que Jean-Luc Espinasse a développés de façon ingénieuse : un thème scientifique et futuriste inspiré du célèbre Nikola Tesla, un thème historique nous faisant voyager au temps de la seconde guerre mondiale et entre l'Alsace et Marseille, et enfin une enquête avec ses indices dévoilés au compte-goutte et des rebondissements inattendus. Le tout sans temps mort ni texte superflu : du Grand Jean-Luc Espinasse !

"J'avais seize ans, et j'étais une meurtrière" paraît aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).

Conformément à nos habitudes, deux livres papier et deux livres numériques sont également à gagner cette semaine sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !

Cliquez sur l'image pour télécharger ou feuilleter l'extrait sur notre librairie !

Résumé :

Au cours d’une plongée sur l’ile du Frioul, Antoine Bogossian tombe sur une caméra contenant d'étranges images.

Ces dernières le conduisent à penser que les savants allemands avaient découvert en 1944 le secret de l’énergie libre et perpétuelle.

Or, soixante-dix ans plus tard, leur prototype est peut-être toujours actif, enfoui sous les décombres des fortifications du Frioul, bombardées à la libération de Marseille.

Son enquête le lance alors sur les traces d’une chercheuse alsacienne, peut-être encore vivante, et le fait remonter au drame des « Malgré Nous », ces Alsaciens enrôlés de force dans les rangs nazis.